Quelle est la tolérance des emplacements des bornes?
Le partage des terres et des terres dans notre pays est fixé souverainement dans le cadastre immobilier. La division se compose d'un réseau de points de délimitation, qui sont généralement marqués sur place avec une borne, c'est-à-dire délimités. À l'origine, les frontières étaient utilisées pour définir des zones sacrées de paix, aujourd'hui elles ne sont utilisées que pour définir des zones de propriété privée et publique.
Si vous souhaitez déterminer la limite exacte entre votre propriété et une propriété voisine ou une zone publique - par exemple, pour réaliser un projet de construction - vous devez donc respecter la limite cadastrale. En cas de doute - en ce qui concerne les centimètres - vous pouvez demander des informations officielles sur les frontières auprès de l'autorité locale d'arpentage. Ici, vous pouvez obtenir les coordonnées exactes des points limites marqués et les utiliser pour localiser les bornes limites sur le site.
Parfois, cependant, il peut arriver que la borne et la coordonnée ne correspondent pas tout à fait. Cela peut être dû aux raisons suivantes:
- zone de tolérance historiquement déterminée
- zone de tolérance déterminée topographiquement
Les causes des tolérances
Fondamentalement, les géodonnées cadastrales des bornes limites sont soumises au critère de «plus haute précision». Cela signifie définir la coordonnée limite d'un point limite aussi précisément que possible au millimètre. Dans la pratique, cependant, les bornes sont généralement fixées avec une "précision de position moyenne" de quelques centimètres.
Histoire de la borne
Le cadastre immobilier est également basé sur une archive de registres de coordonnées qui s'est agrandie au cours de deux siècles. Les géodonnées des bornes officiellement marquées peuvent donc parfois être plus anciennes et parfois plus récentes. Il en résulte une certaine zone de tolérance, qui ne permet généralement pas plus d'un mètre de décalage entre le point limite virtuel et la borne limite réelle.
Situation difficile
Dans des conditions topographiquement difficiles, cette zone de tolérance peut également entrer en jeu, c'est-à-dire lorsque le terrain et les conditions d'utilisation ne permettent pas de fixer les bornes directement à la position de coordonnées. Les plans d'eau ou les bâtiments peuvent rendre nécessaire une telle déviation topographiquement déterminée de la position de la borne. Dans un tel cas, on parle d'un marquage indirect ou indirect, qui ne fonctionne que comme un pointeur vers le point limite réel.